Actions internationales
Pour les actions syndicales internationales la CSC se rallie aux campagnes et stratégies de la Confédération Syndicale Internationale (CSI).
Pour les actions syndicales internationales la CSC se rallie aux campagnes et stratégies de la Confédération Syndicale Internationale (CSI).
Pour les actions syndicales internationales, la CSC se rallie aux priorités de la Confédération Syndicale Internationale (CSI ou ITUC). La CSC souscrit pleinement aux campagnes, stratégies et actions du syndical mondial.
Les principales campagnes de la CSI sont les suivantes:
Le travail décent pour les femmes est la manière la plus rapide et la plus durable de stimuler la croissance et la productivité. Dans le même temps, organiser pour défendre les droits économiques et sociaux des femmes peut renforcer le pouvoir des travailleurs et des travailleuses et garantir des syndicats plus forts et plus représentatifs.
Le travail n’est pas terminé, loin de là: les jeunes femmes sont souvent au chômage, l’écart de rémunération entre hommes et femmes demeure à 20 pour cent en moyenne, les femmes continuent d’être victimes de ségrégation dans les emplois de faible qualité et sous-évalués et d’être surreprésentées dans les formes de travail informelles. En outre, la violence sexiste dans le monde du travail constitue un obstacle important à la participation efficace des femmes au marché du travail.
Notons également que si les femmes représentent 40% des effectifs syndiqués, elles ne sont que 15% à occuper des postes décisionnels au plus haut niveau au sein de leurs organisations.
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La stratégie de la CSI concernant les « pays à risque » constitue un programme de base en matière de droits humains et syndicaux comportant une liste précise des pays à surveiller de pays où la démocratie et les droits font l’objet d’atteintes. La CSI reconnaît ainsi que dans ces pays, les syndicalistes doivent travailler dans un contexte de conflit et de répression.
Cliquez ici pour plus d’informations concernant la stratégie “Pays à risque»
Plus de 100 millions de travailleurs et de travailleuses sont engagés pour accomplir des tâches au domicile d’un autre ménage. Dans de nombreux pays, les travailleurs/euses domestiques sont exclus de la législation du travail et des régimes de protection sociale, de sorte qu’ils sont sous-payés, peu valorisés et qu’ils doivent souvent travailler dans des situations pénibles.
La CSI a obtenu un résultat majeur: l’adoption, en juin 2011, de la Convention 189 et de la Recommandation 201 sur les travailleuses et travailleurs domestiques par l’Organisation internationale du travail (OIT). Ces textes reconnaissent aux travailleuses et travailleurs domestiques le droit de créer un syndicat ou d’y adhérer. La convention garantit que ces travailleurs sont traités comme d’autres travailleurs, sur la base de la législation du travail.
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Les défis à relever en matière de cohérence mondiale sont considérables et reliés entre eux. Les inégalités sont en hausse, la part salariale du revenu national figure parmi les plus faibles de l’histoire ou l’expansion des situations de travail ingérables ne sont que quelques-uns des problèmes que nous devons traiter ensemble.
Au sein de la CSI, la CSC participe aux campagnes en faveur de la protection sociale et de salaires décents. Les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, qui constituent ensemble l’agenda mondial pour le développement durable pour 2030, servent de fil conducteur.
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La migration de la main-d’œuvre alimente l’économie mondiale. On dénombre quelque 232 millions de migrants internationaux dans le monde aujourd’hui, dont au moins 50 pour cent sont économiquement actifs.
Pour orienter ces flux dans la bonne direction, il faudrait disposer d’un cadre international et d’une politique globale. Les syndicats sont plus que jamais appelés à jouer un rôle dans la lutte en faveur d’un cadre légal qui préserve les droits des migrants réguliers, des réfugiés et des demandeurs d’asile. Le droit au travail sans discrimination est une autre revendication.
Cliquez ici pour plus d’informations concernant la gouvernance mondiale des migrations.
La main-d’œuvre mondiale s’élève à approximativement 2,9 milliards de personnes. Seulement 60 pour cent travaille dans l’économie formelle, dont un nombre croissant se retrouve dans des régimes de travail précaires, alors que 40 pour cent lutte pour survivre, en désespoir de cause, dans l’économie informelle, dépourvue de règles, de salaires minimums, de droits et de protection sociale. Ils travaillent souvent dans des conditions déplorables.
Le défi à relever à tous les niveaux du mouvement syndical mondial est l’organisation – l’organisation dans l’économie tante formelle qu’informelle et ce, de façon novatrice.
Grâce à l’engagement de ses organisations constitutives, telles que la CSC, la CSI désire avant tout inciter l’ensemble des travailleurs du monde entier à s’affilier à un syndicat. En effet, cette affiliation constitue la meilleure garantie d’obtenir davantage de travail décent et de justice sociale.