Notre président
Gaston Merkelbach est le trait d'union entre tous les membres de la CSC liégeoise, verviétoise et de région de langue allemande.
Gaston Merkelbach est le trait d'union entre tous les membres de la CSC liégeoise, verviétoise et de région de langue allemande.
Le président de la fédération est le moteur de la cohésion entre tous : les centrales, les comités de secteur, les groupes spécifiques, les militant-e-s, les délégué-e-s, les membres du personnel. La fonction est assurée par Gaston Merkelbach depuis le 21 octobre 2021. Gaston Merkelbach est le premier président élu par les militants des deux fédérations fusionnées en janvier 2019: Liège-Huy-Waremme et Verviers & région de langue allemande. Son mandat de président est d'une durée de 4 ans, renouvelable une fois.
Permanent à la CSC Services publics, Gaston Merkelbach est né à Liège en 1968 dans un milieu militant. Avec un papa syndicaliste à la CSC et une maman active à « Vie féminine », il s’est tout naturellement inscrit aux Jeunes CSC dès ses 14 ans. Et lorsqu'il est entré dans la vie active comme employé au Parquet du Procureur du Roi de Bruxelles, il a directement eu envie de dénoncer les injustices qu'il découvrait autour de lui. C’est ainsi qu'il est devenu délégué CSC et a créé la première section syndicale au parquet du Procureur du Roi de Bruxelles.
De fil en aiguille, il est devenu permanent syndical au sein du groupe Justice et depuis janvier 2010, il occupe la fonction de secrétaire régional Liège-Verviers à la CSC Services publics. «Les actions interprofessionnelles, intersectorielles et sectorielles relèvent de mon quotidien et font partie de mon engagement militant de tous les instants, avec l’aide de l’ensemble des collègues et des équipes syndicales,» dit-il. La présidence de la CSC Liège-Verviers-Ostbelgien n’est donc pas une finalité pour lui mais la continuation logique de son engagement militant.
«Présider, c’est tenter de fédérer autour de projets, de propositions, de revendications, explique-t-il. Présider, c’est être attentif aux enjeux sociaux, politiques et économiques. Présider, c’est travailler en bonne entente avec le secrétaire fédéral, l’adjoint au secrétaire fédéral, les équipes interprofessionnelles, les centrales, les délégué.e.s, les membres du personnel, c’ est être le moteur de la cohésion. C’est aussi pouvoir se reposer sur les équipes syndicales, sur les instances et la collaboration de toutes et tous. Je m’inscris donc dans une présidence constructive, collaborative, combative, attentive et solidaire.»